La "glace qui brûle" de l'Arctique est-elle l'avenir de l'énergie ?
Stéphan SILVESTRELe gaz d'hydrates de méthane, plus communément appelé "glace qui brûle", constitue une source d'énergie au potentiel considérable. Mais avant que son exploitation soit envisagée à grande échelle, il faudra neutraliser les émissions de dioxyde de carbone produites lors de la combustion de ce gaz.
Publication type:
Press Article
Date de parution:
01/2013
Support:
Atlantico